"On a même parlé de mort du poste de travail fixe, au profit du flex office (bureau flexible), où l’on pratique le desk sharing (bureau partagé). Electron libre, start-upper, touche-à-tout... L’employé de 2017 pourrait, nous dit-on, collaborer n’importe où, pourvu qu’il ait un accès à Internet, un ordinateur portable, du mobilier design, une salle de jeux, etc." (Le Monde 18 juillet 2017 - « En France, le télétravail est encore souvent considéré comme un caprice de l’employé »« En France, le télétravail est encore souvent considéré comme un caprice de l’employé »)

"Personne ne sait encore comment les nommer – bureaux sans place attitrée, mutualisés, tournants, partagés, libérés, desk sharing, flexidesks, flexoffices… Mais d’évidence, ils se répandent dans les grandes entreprises du secteur tertiaire : 12 % des bureaux y sont déjà des postes de travail partagés, selon l’Association des directeurs et responsables de l’environnement de travail (Arseg). Au premier ­déménagement, ou réaménagement de locaux, « la question est maintenant posée quasi systématiquement » au spécialiste de l’immobilier d’entreprise, JLL France." (Le Monde 7 octobre 2016 - Mais où sont passés les bureaux ?Mais où sont passés les bureaux ?)

"La France fait pourtant partie des pays où persistent les bureaux individuels : un tiers des actifs en sont équipés quand 3 salariés sur 4 au Royaume-Uni travaillent dans des bureaux collectifs. Les Suédois et les Néerlandais sont allés plus loin encore en supprimant les bureaux attitrés : 21 % et 17 % font du « desk sharing »." (Le Monde 3 novembre 2014 - Les Français n’aiment pas les « open space »Les Français n’aiment pas les « open space »)