Mais une telle réorganisation ne s’improvise pas. Les open spaces ont leurs détracteurs, les « flex offices [pas de bureau attitré] », qui ont le vent en poupe, aussi. Les retours d’expérience des responsables des ressources humaines révèlent la nécessité de bien connaître les besoins des salariés selon leur activité avant de réorganiser." (Le Monde 23 octobre 2019 - Déménagement, aménagement d’espace : avancées et reculades du « flex office »Déménagement, aménagement d’espace : avancées et reculades du « flex office »)

"On a même parlé de mort du poste de travail fixe, au profit du flex office (bureau flexible), où l’on pratique le desk sharing (bureau partagé). Electron libre, start-upper, touche-à-tout... L’employé de 2017 pourrait, nous dit-on, collaborer n’importe où, pourvu qu’il ait un accès à Internet, un ordinateur portable, du mobilier design, une salle de jeux, etc." ( Le Monde 18 juillet 2017 - « En France, le télétravail est encore souvent considéré comme un caprice de l’employé »)

Mais cette organisation comporte des inconvénients : le fait que les gens s’installent où ils veulent rend difficile le débrief à la volée. Chaque rencontre doit être programmée et devient dès lors un moment pleinement consacré au travail. La limite du “flex office”, c’est qu’il laisse peu de place à l’échange improductif. » (Le Monde 11 janvier 2019 - Le « flex office » et les stratèges du canapéLe « flex office » et les stratèges du canapé)